.../... ' La question qui se pose aujourd’hui est bien celle d’un service public de la santé de premier recours. La médecine libérale ni ne se laisse réguler, ni ne se régule : l’inégale répartition des professionnel-le-s de santé sur le territoire est un problème ; l’impossible accès au médecin traitant pour une partie de la population est un problème ; le financement à l’acte curatif est un problème ; le cloisonnement santé/social est un problème… rien de nouveau et rien sur quoi les organisations des professionnel-le-s libéraux n’aient apporté de réponse. Bien au contraire puisque ces organisations ont même refusé le tiers-payant généralisé qui constitue le b-a-ba de l’accès aux soins et alors que les discriminations vis-à-vis des populations les plus vulnérables s’installent. " .../...